Victimes. Ils étaient dessinateurs, correcteurs, journalistes, et ils sont tombés sous les balles des terroristes qui, au nom d’Allah, les ont pris pour cibles. Ils symbolisent le dessin de presse impertinent, l’insoumission aux dogmes et aux religions, l’esprit libre et l’expression d’une opposition démocratique à l’autorité.
Sommaire
Cinq jours qui ont ébranlé le monde
La chronique de Jean-François Kahn: la France est capable de ça!
Pegida, nouveau visage de l’islamophobie
Liberté de la presse et démocratie, un lien qui ne va pas de soi
La liberté de la presse: et en Suisse?
Rire de tout, au risque de n’être pas compris
La chronique de Charles Poncet: le chagrin et l’absence de pitié
«Souvent, ils n’ont pas grand-chose à perdre, ce qui facilite leur passage à l’acte»
La France appelle à un Big Brother européen